Les récentes pluies de type Méditerranéennes et Cévénol nous rappellent la force de la nature… La terre est comme une éponge : une fois gorgée, l’excédent continue dans le ruisseau, la rivière, le fleuve, la mer.
Eh oui, l’eau, nous la voyons passer, elle ne s’arrête pas. Le dénivelé du Pilat (de 1400 à 500 mètres !) accélère sa force.
Les Romains ont su construire l‘aqueduc du Gier pour alimenter Lyon en eau sur un parcours de plus de 80 kilomètres, des dizaines de ponts, de tunnels, de siphons et près d’un millier de regards. Une vraie prouesse et un chef d’œuvre d’ingéniosité.
Alors oui, il va falloir nous retrousser nos manches pour garder un peu de cette eau.
Les étangs, les marres, peuvent retenir un peu d’eau et ne sont pas ridicules.
Il faudra bien sûr d’autres solutions, d’autres réalisations. »
Jean-Luc ANDRIEU